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Depuis le 14 juillet, le Musée de l'Armée accueille un nouvel espace intitulé "Les Invalides entre histoire et mémoires". Ce parcours part à la découverte de 350 ans d'histoire d'un patrimoine exceptionnel.
On y retrouve notamment une chaise roulante modèle "1900" en usage aux invalides au début du XXème siècle, pour laquelle la Fondation d'entreprise Carac est fière d'avoir soutenu la restauration, contribuant ainsi à préserver le patrimoine historique militaire de la France.
A l'occasion d'une inauguration organisée le 9 septembre dernier, la Fondation d'entreprise Carac a pu découvrir à travers ce parcours bien d'autres pièces sur les 350 ans d'histoire d'un patrimoine exceptionnel aux multiples fonctions, parmi lesquels une peinture d'Edouard Detaille, le plan-relief des Invalides, les reliques de Napoléon 1er, un tableau de Pierre Dulin.
Retrouvez l'installation de la chaise dans le nouveau parcours d'exposition
Soutenu en 2023 par la Fondation d’entreprise Carac, le documentaire de 52 minutes « Sabine Zlatin ou l’impossible oubli » de Daniel Cling, coproduit par France 3 Auvergne-Rhône-Alpes et Un film à la patte sera diffusé pour la première fois à la télévision jeudi 18 avril à 22h45 sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes.
Depuis la Pologne antisémite du début du XXème siècle à la France des années 1990, en passant par l’occupation allemande et la collaboration de Vichy, « Sabine Zlatin ou l’impossible oubli » nous plonge dans l’histoire d’une femme aux multiples facettes.
Ce film est le récit d’une vie autant que celui d’une maison. L’une et l’autre sont indissociables.
« La plaie que je porte dans mon cœur ne se fermera qu’avec ma mort », confessera cette femme au sujet de la Maison d’Izieu. Cette maison qu’elle a créée avec son mari, mort en déportation, qui a été un asile avant de devenir le piège de l’assassinat programmé de 44 enfants, la hantera toute sa vie.
Grâce à une incroyable volonté, cette immigrée polonaise, artiste dans l’âme, humaniste, dans un refus obstiné de faire son deuil, parviendra à faire entrer la maison d’Izieu dans l’histoire nationale. Et elle parviendra en 1944 à réaliser son rêve de voir la Maison d'Izieu devenir un musée mémorial.
Pour enrichir ce portrait, plusieurs intervenants témoigneront des différents aspects de l'histoire que Sabine Zlatin a traversé et de la relation qu'ils ont eue avec elle :
Soutenu par la Fondation d’entreprise Carac, le documentaire « Il s’appelait Guy Môquet » sera de nouveau diffusé sur la chaîne Toute l’Histoire au cours du mois de février : lundi 12 à 13h30, mercredi 14 à 06h41, vendredi 16 à 10h et mercredi 21 à 23h24. Réalisé par Emmanuel Amara, en collaboration avec l’écrivain Marc Levy et produit par Mediatika, le film de 52 minutes a été diffusé pour la première fois en télévision le 19 février 2023 sur la chaîne Toute l’Histoire.
Combien de jeunes gens, filles et garçons savent que Guy Môquet avait leur âge quand il a été fusillé ? Qui était ce jeune homme devenu à 17 ans un des symboles de l’oppression nazie en France ?
Si la lettre de Guy Môquet, écrite à sa famille quelques heures avant d’être exécuté, a traversé l’Histoire, on connait moins son parcours, sa personnalité enjouée, son engagement dans le militantisme communiste qui lui valut d’être arrêté sur dénonciation puis fusillé, avec 48 autres otages, en représailles après la mort du lieutenant-colonel Karl Hotz.
Peu de personnes peuvent encore nous offrir leurs souvenirs du Guy Môquet de chair et d’os, du lycéen parisien rieur et sportif qui habite avec sa mère à deux rues de la station de métro parisienne qui porte aujourd’hui son nom.
Odette Nilès, militante communiste et résistance française, fut le premier et le dernier amour de Guy Môquet, rencontré alors qu’ils étaient tous les deux internés au camp de Châteaubriant. Aujourd’hui, à la veille de ses 100 ans, Odette Nilès nous raconte le jeune garçon qui la surnommait « Épinard » et qui lui a écrit une lettre qu’elle a longtemps gardé secrète.
Rescapé de Drancy, Paul Sinenberg, qui habitait à Châteaubriant en 1941, est le dernier témoin de l’exécution des otages du camp. Il nous plonge dans cette journée d’octobre où il entendit, caché, les condamnés chanter La Marseillaise.
A découvrir ou redécouvrir sur la chaîne Toute l’Histoire.
Soutenu par la Fondation d'entreprise Carac, ce film documentaire de Pierre Assouline, produit par Golden Light Productions remporte les éloges de la critique, avant sa première diffusion prévue ce lundi 15 janvier sur LCP, à 20h30.
« Fasciné par le rapport des deux hommes (de Gaulle et Churchill) à l’histoire et la littérature, Pierre Assouline s’est servi des tapuscrits originaux de leurs Mémoires pour reconstituer le fil intime de leur relation. Véritable bonheur d’écriture, son film se suit avec délice ».
Dans son article paru dans les pages de la dernière édition de Télérama, Pierre Ancery résume le contenu d’un documentaire prenant la forme d’« un double portrait … subtil et émouvant ».
Au-delà de Télérama, la presse - Figaro Magazine notamment – vient saluer la qualité de ce documentaire. Rappelons que sa sortie, en 2024, vient aussi célébrer les 70 ans de la publication du 1er tome des Mémoires de De Gaulle, en 1954.
Ne manquez pas la première diffusion, sur LCP ce lundi 15 janvier à 20h30, suivie d’un débat animé par Jean-Pierre Gratien.
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