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Les projets soutenus

La Beauté du Monde
La beauté du monde est un long-métrage réalisé par Cheyenne-Marie Carron et produit par Hésiode Productions. Ce film suit les pas de Roman, militaire de retour de mission, souffrant de traumatismes et rencontrant des difficultés à reprendre sa place dans la société. Fait marquant, le tournage est accompagné de vrais soldats pour jouer des personnages du film. Une histoire forte en émotion qui nous parle du stress post-traumatique.

Les petits artistes de la mémoire
Le concours Les petites artistes de la mémoire est organisé par l’ONACVG. Il sensibilise les élèves d’école primaire à la Grande Guerre. Il est reconduit pour la 8è année, avec le soutien de la Fondation d’entreprise Carac. Le concours scolaire a pour objet la réalisation d’un carnet artistique retraçant l’histoire d’un poilu. Le concours national mobilise plus de 7 000 scolaires en France et en outre-mer.

Propagande Day, le débarquement sur nos écrans
Le film documentaire de Nicolas Bruneau, produit par Scotto Productions, traite du débarquement. Depuis 1945, la télévision est devenue le média de masse le plus répandu. Sa capacité d’intrusion dans les foyers français en a fait le support le plus influent de la fabrication de la mémoire du débarquement. Le film permet de comprendre comment la perception du débarquement s’est transformée au fil du temps. Il a été diffusé dans les villes de la côte normande en juin 2021.

Vivre malgré eux, ils voulaient rejoindre Charles de Gaulle
Le film documentaire du réalisateur Olivier Hennegrave et de l’historien Cheikh Sakho, réalisé par Parce que prod, retrace l’amitié de deux jeunes gens natifs de Forbach qui vont tout faire pour ne pas devenir des « Malgré-nous ».
Le film revient sur les terribles événements subis par les Mosellans et les Alsaciens lors de l’annexion allemande de 1940. À partir de 1942, les deux amis mosellans vont vivre des histoires diamétralement opposées. L’un devient une légende vivante chez les parachutistes et l’autre survit aux camps de concentration. 70 ans plus tard, Roger Boulanger et Achille Muller se retrouvent à l’occasion du film et racontent leur passé.
Photo : ©Jean-Jacques Schott

À pas aveugles
Ce film produit par L’atelier documentaire retrace l’histoire d’hommes et de femmes, qui, pendant leur détention du printemps 1943 à l’automne 1944 dans les camps de concentration de Dachau, Mittelbau-Dora, Buchenwald, Auschwitz-Birkenau et Ravensbrück, ont pris des photographies clandestines au péril de leur vie.

Une Juste au Château du Diable
La pièce de théâtre de la Compagnie du Grand Mars aborde la Résistance en 1940, quand l’occupation commence. La pièce met en scène Élise Rivet, une religieuse lyonnaise qui rentre en Résistance et va prendre tous les risques pour sauver des centaines d’enfants juifs de la déportation. Défiant l’Église, le régime de Vichy et les Allemands, elle devient aussi agent de renseignement, fabrique des faux papiers et cache des armes dans son couvent. Mais la Gestapo, dirigée par Klaus Barbie, enquête et va la capturer. La pièce parle aussi des conditions d’incarcération dans la prison de Montluc et de l’enfer du camp de Ravensbrück.

Résistance : Le maquis du Limousin
Le film documentaire de 52 minutes produit par TV PRESSE, raconte l’épisode méconnu de la Seconde Guerre mondiale en Limousin à travers deux grandes figures de la Résistance française : Edmond Michelet et Georges Guingouin.

1945, la tragédie de Royan
Le film documentaire de 52 minutes, réalisé par Guillaume Vincent et produit par Les Films en vrac, porte sur la ville de Royan en 1945. Dans les années 1930, Royan est la station balnéaire française à la mode. Mais tout va se briser avec la guerre, en 1945. Bombardée plusieurs fois, prise d’assaut, Royan va être détruite à 90 %, plongeant ses habitants dans l’enfer des destructions. Et Royan va devenir le symbole de l’absurdité de la guerre, une tragédie inutile, une histoire singulière de la fin de la Seconde Guerre mondiale.

La ligne de démarcation, une France coupée en deux (1940-1943)
Film documentaire de 90 minutes de Vincent de Cointet produit par Roche Productions qui revient sur l’histoire de cette « frontière intérieure » qui traversait 13 départements, de juin 1940 à 1943. Ce film a pour ambition de redonner à cette séparation intérieure qui a meurtri la France pendant près de trois ans toute sa place dans le champ mémoriel de la Seconde Guerre mondiale.

Il s’appelait Guy Môquet
Le film documentaire de 52 minutes réalisé par Emmanuel Amara, en collaboration avec l’écrivain Marc Levy et produit par Mediatika, présente les derniers mois de la vie de Guy Môquet et retrace les circonstances exactes qui ont conduit à L‘assassinat du jeune homme de 17 ans.

Musée des Troupes de Marine
Dans le cadre de la modernisation et de l’extension du musée des Troupes de Marine à Fréjus (Var), un vaste projet est entrepris pour 2022. La Carac participe au financement des réserves des expositions et de la salle des expositions temporaires.

Les appelés de la guerre d’Algérie, un si long silence
Ce film documentaire de 52 minutes est écrit par Vincent Sacripanti et Bernard George, réalisé par Bernard George et coproduit par Kuiv Productions et France Télévisions. Le film a été diffusé en mars 2022, à l’occasion de la commémoration des 60 ans de la signature du cessez-le-feu entre la France et l’Algérie. Entre 1954 et 1962, plus d’un million d’appelés ont sacrifié leur jeunesse pendant la guerre d’Algérie et pourtant, de cette expérience fondatrice, il reste peu de traces. Un long silence de plusieurs décennies a entouré cette guerre au sein de la société française. À travers des témoignages d’appelés et de leurs proches, le film propose d’inscrire leur expérience de la guerre dans un récit national plus vaste, celui de la mémoire de la guerre d’Algérie.
Photo : ©ECPAD

Indochine, quand les femmes entrent en guerre
Le film de 55 minutes « Indochine, quand les femmes entrent en guerre », réalisé par Philippe Fréling et co-produit par Histoire TV, Kami Productions et l’ECPAD, présente comment les Françaises ont gagné le droit d’être des militaires à l’égal des hommes en prenant part à la guerre d’Indochine. Construit à partir des témoignages de quelques-unes des 5000 femmes engagées volontaires au sein des troupes françaises d’Extrême-Orient, le film fait entendre un double récit de la guerre : la guerre à laquelle elles ont pris part et celle qu’elles ont dû mener pour se faire accepter comme soldats dans une société française qui voulait les cantonner dans le rôle d’épouse et de mère.
Photo : ©ECPAD

À ceux qui ont donné une part de vie en Afghanistan
La Fondation d’entreprise Carac a conforté la démarche commémorative des vétérans blessés en opération en soutenant, depuis 2021, une exposition réalisée avec l’association l’ESCALE. Cette exposition itinérante, illustrée par des textes et près de 200 photos, rend hommage aux blessés de guerre d’Afghanistan. Un projet fédérateur qui a débuté le 18 octobre 2021 au Cercle National des Armées à Paris et fera le tour de France jusqu’à fin 2022.
Photo : ©Léo

La reconstitution en 3D des Éparges avant la Grande Guerre
Le projet soutenu par la fondation porte sur la reconstitution en 3D du village Les Éparges en 1914 et sa reconstruction de 1920 à 1935. L’association L’Esparge souhaite organiser, en 2022, une manifestation avec une exposition des vues en 3D des Éparges avant 1914, la vidéo de visite virtuelle du village et une conférence sur l’urbanisme d’entre-deux guerres. Le support vidéo permettra d’organiser d’autres événements, notamment à destination de scolaires.