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Connaissez-vous l’assurance-vie responsable et solidaire ?

Publié le 13 février 2023
Connaissez-vous l’assurance-vie responsable et solidaire ?
Aujourd’hui, tout nouveau contrat d’assurance-vie multisupport doit proposer au moins un fonds vert, un fonds solidaire et un fonds responsable. Donner du sens à son épargne n’a jamais été aussi facile et c’est possible avec la Carac.

Que dit la loi ? 1

Depuis le 1er janvier 2020, la loi Pacte impose que chaque produit d’assurance-vie présente au moins une unité de compte dans un investissement socialement responsable, solidaire ou vert. Le 1er janvier 2022, un nouveau cap a été franchi : les assureurs doivent proposer une unité de compte dans chacune de ces catégories.

Concrètement, qu’est-ce que cela signifie ?

Les assurances-vie multisupports doivent intégrer au moins un fonds solidaire, un fonds ISR et un fonds Greenfin. Le fonds solidaire signifie que votre argent est placé dans une entreprise qui œuvre spécifiquement dans la solidarité, tandis que le fonds Investissement socialement responsable (ISR) intègre des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Le fonds Greenfin quant à lui se veut exigeant sur des secteurs d’avenir comme la lutte contre le réchauffement climatique ou encore la mobilité durable. On vous en dit plus sur ces trois labels ici !

Que contient la nouvelle gamme d’assurance-vie Carac ?

Lancée en 2021, elle comprend des unités de compte rigoureusement sélectionnées sur des critères ESG. Ces unités de compte sont donc labellisées ISR, Greenfin et Finansol, garantissant des critères environnementaux, écologiques et sociaux de haut niveau. « La majorité entre dans la catégorie de l’article 8 de la réglementation SFDR », explique Karen Transe, cheffe de produit Carac. « Nous avons saisi l’opportunité de ces évolutions réglementaires pour proposer une gamme plus verte et solidaire qui répond aux attentes de nos adhérents ».

Quel est l’intérêt de souscrire à cette nouvelle gamme Carac ?

« Cette gamme présente un avantage, celui de ne pas s’éparpiller dans une multitude d’unités de compte » indique Karen Transe. « Nous avons privilégié la qualité, en proposant une liste réduite mais sélectionnée avec soin ». Ainsi, les unités de compte portent sur des enjeux d’avenir comme la protection l’environnement, la nutrition ou encore la cybersécurité. En choisissant une assurance-vie à la Carac, les adhérents savent exactement l’impact qu’ils auront.

Les conseils de la Carac pour bien choisir son contrat  

« Avant toute chose, il faut bien définir vos besoins », explique Karen Transe. « En tant qu’adhérent, il faut savoir si l’on souhaite investir à court, moyen ou long terme ». Est-ce un contrat destiné à un projet précis ou plutôt une épargne au long cours ? C’est le premier point à discuter avec votre conseiller. « Ensuite, il faut regarder la solidité financière de l’organisme auprès duquel vous souscrivez », indique Karen Transe. Une structure comme la Carac a les capacités et les fonds propres pour assurer la sécurité des placements et c’est un point essentiel. « Les adhérents doivent aussi évaluer la rentabilité de l’offre », ajoute Karen Transe. À cet égard, la Carac est reconnue pour son fonds euros parmi les plus performants du marché. « Enfin, bénéficier de l’expertise d’un(e) conseiller(ère) permet de répondre à vos interrogations et d’évaluer la pertinence de ce placement en accord avec vos objectifs et valeurs ». Une fois tous ces éléments vérifiés, vous pouvez y aller !

Les montants investis sur les supports en unités de compte ne sont pas garantis mais sujets à des fluctuations à la hausse ou à la baisse dépendant notamment de l’évolution des marchés immobiliers et financiers. Il existe un risque de perte partielle ou totale en capital. La Carac s’engage sur le nombre d’unités de compte et non sur leur valeur. Le risque de moins-value est donc supporté par l’adhérent. Les obligations/titres de créance proposés en qualité d’unités de compte d’un contrat d’assurance-vie sont soumis au risque de défaut de l’émetteur et de perte de valeur en cas de rachat, d’arbitrage ou de dénouement par décès avant l’échéance du titre. Pour en savoir plus, consulter Carac.fr.

[1] Source : https://www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/apr_-_loi_pacte_-_evaluation_du_marche_europeen_des_labels_de_finance_verte_et_solidaire_-_presentation_generale.pdf